vendredi 28 octobre 2011

Maison de l'Escalopier - Maison Eymonaud (Suite et fin)

En 1892, l'antiquaire Ernest Eymonaud rachète ce qui reste du domaine et fait construire ou reconstruire cette maison qui, dès lors, prendra son nom. Il est aujourd'hui impossible de distinguer ce qui appartenait à la maison de l'Escalopier et les apports de l'antiquaire Eymonaud.


Les boiseries de l'escalier constituent une véritable bande dessinée dont voici quelques exemples:


Petit rappel: les images sont cliquables !









La maison est ouverte au public en juillet-août ainsi que lors des journées du patrimoine. Il se peut néanmoins qu'en dehors de ces périodes, vous rencontriez comme moi une personne aimable... 

Impasse Marie Blanche, Paris XVIII°.

mercredi 26 octobre 2011

Maison de l'Escalopier (impasse Marie Blanche) (Suite)

Grâce à l'amabilité d'une habitante, nous poussons la porte pour voir le hall et cet escalier aux boiseries extraordinaires...


Attention, nous sommes dans une propriété privée; il convient donc de respecter la tranquillité des résidents.





Non ce n'est pas un décor de cinéma !





Si, lors de votre visite, les fenêtres du rez-de-chaussée sont ouvertes, ne faites pas comme moi, ne regardez pas à l'intérieur ! Vous y verriez des plafonds peints de toute beauté...

La visite n'est pas terminée; il nous reste à voir la première bande dessinée en bois !

à suivre...

Impasse Marie Blanche, Paris XVIII°.

mardi 25 octobre 2011

Maison de l'Escalopier (impasse Marie Blanche)

Cette curieuse maison gothique est un vestige. En 1835, le comte Charles de l'Escalopier fait contruire "à la campagne" une maison entourée d'un vaste terrain (à l'époque jusqu'à la rue Joseph de Maistre). Il y installe un musée médiéval ainsi que des serres dans lesquelles il fait pousser toutes sortes de plantes exotiques que le public sera admis à visiter. Il y construira par la suite une bibliothèque.
Ce n'est qu'en 1882 que les terrains seront lotis.




Nous sommes au bout d'une impasse, sans recul pour prendre une photo. Seule, la tourelle est visible de loin.






Admirez le travail des sculpteurs




Lors de notre prochaine visite, nous pousserons la porte !

à suivre...

Impasse Marie Blanche, Paris XVIII°.

lundi 24 octobre 2011

Plaque "Arts Graphiques" rue Crussol

Levez le nez si vous passez rue Crussol; au n° 10, une grande plaque en fonte remplace une fenêtre au premier étage. Il s'agit d'une enseigne signalant un ancien atelier d'arts graphiques.




10 rue Crussol, Paris XI°.

vendredi 21 octobre 2011

La salle d'honneur de la Sorbonne

Si vous avez la chance de visiter la Sorbonne, ne ratez pas la salle d'honneur. Le somptueux plafond représente les armoiries des villes ayant un lycée en 1885, date de construction de la "nouvelle Sorbonne".







Vous admirerez la taille (et le poids !) de la table...


Vous aurez une pensée émue pour le cardinal de Richelieu dont le masque mortuaire vous regarde...



14 rue Cujas, Paris V°.

mercredi 19 octobre 2011

Femme ailée au crocodile de Jacques Froment-Meurice

Hors Paris

Devant l'ancienne mairie de Thiais (aujourd'hui académie des arts) et tournant le dos aux passants, cette curieuse fontaine est une oeuvre de Jacques Froment-Meurice. Après avoir été présentée à l'Exposition Universelle de 1900, elle fut donnée par l'artiste à la commune.





Place du général Leclerc, Thiais (Val de Marne).

mardi 18 octobre 2011

Immeuble industriel rue Duhesme

Ne vous fiez pas à la façade banale; entrez et parcourez ce long corridor (ouvert en semaine) jusqu'à la cour intérieure



Levez la tête; vous êtes devant un immeuble industriel typique du début du XX° siècle encore intact



Une curiosité: ce pont reliant les deux corps de bâtiment au dernier étage... Grimpons !


J'espère que c'est solide !



18 rue Duhesme, Paris XVIII°.